03-19-2003, 01:06 PM
L'A.H qui développait des doutes appuyées sur le potentiel du V.10 à 110°, persiste et signe dans l'édition de cette semaine, avec, carrément, une première page annonçant un "état de crise" chez le losange.
L'affaire est sérieuse car ne résulte nullement de la spéculation d'un plumitif en mal de soop. Non, à l'intérieur, FAURE, HIS, BRIATORE et consort battent leur coulpe à l'unisson.
Le résultat de MELBOURNE ? Un heureux concours de circonstances. Le challenge technique du 110° ? Un pêché d'orgueil pour une F.1 qui est devenue avant tout une affaire de marketing. Une attente de 3 ans pour espérer seulement des points ? Indigne d'une firme comme RENAULT...
Bilan, dans 8 à 10 semaines, 2004 sera planifiée. Le 110° a toutes les chances d'être écarté pour revenir à un 90° dont l'injection directe et une distribution sans arbre à cames seraient le "label technique" de Viry et sauveraient les apparences d'une marque qui a toujours voulu conjuguer son engagement avec innovation.
C'est vrai que l'heure est grave. HIS est dépeint en docteur Folamour attachant mais à gérer (d'où, sans doute, le retour de DUDOT...), BRIATORE joue les innocents derrière les murs d'ENSTONE, tandis que FAURE n'hésite pas à reconnaïtre que<i> " sans résultats plausibles"</i>, il n'attendrait pas le coup de fil de SCHWEITZER pour faire ses valises...
L'affaire est sérieuse car ne résulte nullement de la spéculation d'un plumitif en mal de soop. Non, à l'intérieur, FAURE, HIS, BRIATORE et consort battent leur coulpe à l'unisson.
Le résultat de MELBOURNE ? Un heureux concours de circonstances. Le challenge technique du 110° ? Un pêché d'orgueil pour une F.1 qui est devenue avant tout une affaire de marketing. Une attente de 3 ans pour espérer seulement des points ? Indigne d'une firme comme RENAULT...
Bilan, dans 8 à 10 semaines, 2004 sera planifiée. Le 110° a toutes les chances d'être écarté pour revenir à un 90° dont l'injection directe et une distribution sans arbre à cames seraient le "label technique" de Viry et sauveraient les apparences d'une marque qui a toujours voulu conjuguer son engagement avec innovation.
C'est vrai que l'heure est grave. HIS est dépeint en docteur Folamour attachant mais à gérer (d'où, sans doute, le retour de DUDOT...), BRIATORE joue les innocents derrière les murs d'ENSTONE, tandis que FAURE n'hésite pas à reconnaïtre que<i> " sans résultats plausibles"</i>, il n'attendrait pas le coup de fil de SCHWEITZER pour faire ses valises...