10-14-2002, 05:53 PM
Lu sur Yahoo Finances...
<!--QuoteBegin--></span><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE </td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->Autoroutes/Privatisations - HSBC-CCF conseillera l'Etat
par Denis Thomas
PARIS, 14 octobre (Reuters) - Le ministère de l'Economie et des Finances a annoncé lundi avoir choisi HSBC (London: HSBA.L - actualité) -CCF comme banque conseil pour la privatisation du secteur autoroutier, qui comprend notamment la cession d'une deuxième tranche des Autoroutes du Sud de la France (Paris: 18415.PA - actualité) (ASF ).
"HSBC-CCF a été retenu après l'appel d'offres lancé pour l'évolution des sociétés publiques du secteur autoroutier", a dit un porte-parole de Bercy en confirmant l'information obtenue un peu plus tôt de sources industrielles et bancaires.
Chez HSBC CCF, qui avait déjà conseillé le gouvernement lors de la première tranche de privatisation des ASF en mars, une porte-parole s'est refusée à tout commentaire sur l'information.
Une quarantaine d'établissements français et étrangers ont participé à l'appel d'offres lancé l'été dernier par le gouvernement afin de prévoir "l'évolution de la stratégie des entreprises du secteur autoroutier", selon une source bancaire.
Les ASF ont été mises sur le marché fin mars par le gouvernement du Premier ministre socialiste Lionel Jospin, qui avait alors introduit en Bourse une première tranche de 49% du capital du concessionnaire autoroutier.
Le marché attend la cession des 51% restant. La bonne tenue du titre ASF, qui a gagné jusqu'à 20% en mai et amorti la chute de la Bourse de Paris depuis (-0,41% depuis son entrée en Bourse le 28 mars alors que l'indice phare a perdu près de 38% depuis) plaide pour une mise sur le marché rapide de ce solde.
Le deuxième volet de la privatisation des ASF pourrait rapporter environ trois milliards d'euros à l'Etat.
Le groupe Vinci (Paris: 12548.PA - actualité - forum) qui a acquis un peu plus de 17% des ASF de concert avec Eiffage , sans y être invité ni par l'Etat ni par la société, est en embuscade sur les ASF dont il aimerait détenir au moins 20%.
L'Etat est en quête d'argent frais et quelque huit milliards d'euros de recettes de privatisation sont inscrites dans le projet de loi de finances 2003.
Outre les ASF et ses 3.000 km d'autoroutes, les concessions autoroutières privatisables françaises se limitent à la Société d'autoroutes du Nord et de l'Est de la France (SANEF, 1.800 km d'autoroutes) et la Société d'autoroute Paris Rhin Rhône (SAPRR, 1.800 km également).
La privatisation de ces deux dernières pourrait "attendre le printemps prochain", estime-t-on de source industrielle.
Selon certains spécialistes, la valeur de SANEF est comprise entre 1,5 et deux milliards d'euros, tandis que celle de SAPRR se situe autour de deux milliards. /DT/WEM
<!--QuoteEnd--></td></tr></table><span class='postcolor'><!--QuoteEEnd-->
Je crois que tout espoir d'autoroute gratuite peut a jamais être oublié !
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par Denis Thomas
PARIS, 14 octobre (Reuters) - Le ministère de l'Economie et des Finances a annoncé lundi avoir choisi HSBC (London: HSBA.L - actualité) -CCF comme banque conseil pour la privatisation du secteur autoroutier, qui comprend notamment la cession d'une deuxième tranche des Autoroutes du Sud de la France (Paris: 18415.PA - actualité) (ASF ).
"HSBC-CCF a été retenu après l'appel d'offres lancé pour l'évolution des sociétés publiques du secteur autoroutier", a dit un porte-parole de Bercy en confirmant l'information obtenue un peu plus tôt de sources industrielles et bancaires.
Chez HSBC CCF, qui avait déjà conseillé le gouvernement lors de la première tranche de privatisation des ASF en mars, une porte-parole s'est refusée à tout commentaire sur l'information.
Une quarantaine d'établissements français et étrangers ont participé à l'appel d'offres lancé l'été dernier par le gouvernement afin de prévoir "l'évolution de la stratégie des entreprises du secteur autoroutier", selon une source bancaire.
Les ASF ont été mises sur le marché fin mars par le gouvernement du Premier ministre socialiste Lionel Jospin, qui avait alors introduit en Bourse une première tranche de 49% du capital du concessionnaire autoroutier.
Le marché attend la cession des 51% restant. La bonne tenue du titre ASF, qui a gagné jusqu'à 20% en mai et amorti la chute de la Bourse de Paris depuis (-0,41% depuis son entrée en Bourse le 28 mars alors que l'indice phare a perdu près de 38% depuis) plaide pour une mise sur le marché rapide de ce solde.
Le deuxième volet de la privatisation des ASF pourrait rapporter environ trois milliards d'euros à l'Etat.
Le groupe Vinci (Paris: 12548.PA - actualité - forum) qui a acquis un peu plus de 17% des ASF de concert avec Eiffage , sans y être invité ni par l'Etat ni par la société, est en embuscade sur les ASF dont il aimerait détenir au moins 20%.
L'Etat est en quête d'argent frais et quelque huit milliards d'euros de recettes de privatisation sont inscrites dans le projet de loi de finances 2003.
Outre les ASF et ses 3.000 km d'autoroutes, les concessions autoroutières privatisables françaises se limitent à la Société d'autoroutes du Nord et de l'Est de la France (SANEF, 1.800 km d'autoroutes) et la Société d'autoroute Paris Rhin Rhône (SAPRR, 1.800 km également).
La privatisation de ces deux dernières pourrait "attendre le printemps prochain", estime-t-on de source industrielle.
Selon certains spécialistes, la valeur de SANEF est comprise entre 1,5 et deux milliards d'euros, tandis que celle de SAPRR se situe autour de deux milliards. /DT/WEM
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Je crois que tout espoir d'autoroute gratuite peut a jamais être oublié !