10-14-2002, 09:12 AM
<!--QuoteBegin--></span><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE </td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->
Les constructeurs français accroissent régulièrement leur part du marché allemand, pourtant en recul. Leur pénétration est passée de 6,7 % en 1988 à 11,8 % au premier semestre de 2002, devançant les marques japonaises dont la part est tombée à 10,2 % (15 %) et le groupe Fiat, qui a régressé à 3,3 %.
Peugeot recueille les fruits de son offensive dans le produit et du succès de ses moteurs diésel à injection directe, et séduit particulièrement la clientèle féminine. Il vise 4,6 % du marché en 2005. Citroën table sur 40 000 immatriculations en 2003 et une part de 2,8 % avec le C3, la Pluriel et la C2 à deux portes.
Renault bénéficie d'une clientèle fidèle et vise une pénétration de 7 % grâce notamment à la nouvelle Mégane et au nouvel Espace. Les deux constructeurs se lancent dans les ventes aux exploitants de flottes de véhicules.
Quelque peu ironiques à l'égard des innovations françaises telles que le verrouillage à distance des portières ou la commande de radio au volant, les constructeurs allemands proposent aujourd'hui ces équipements en option et marquent du respect envers les constructeurs français. C'est notamment le cas de M. Carl-Peter Forster, président de Opel, qui a rendu hommage à leurs « concepts innovants ». Les Français ont des années d'avance sur leurs concurrents d'Outre-Rhin dont ils conquièrent massivement la clientèle, souligne AUTO MOTOR UND SPORT (2/10/02). Au lieu de se disperser dans des ambitions de luxe et dans une surenchère technique, ils cultivent leurs points forts et proposent des véhicules attrayants, au style séduisant et à des prix abordables.
<!--QuoteEnd--></td></tr></table><span class='postcolor'><!--QuoteEEnd-->
Après les moqueries et le dédain, les allemands se rendent compte de leur malheur, surtout Ford et Opel qui dégringolent en Allemagne
Les constructeurs français accroissent régulièrement leur part du marché allemand, pourtant en recul. Leur pénétration est passée de 6,7 % en 1988 à 11,8 % au premier semestre de 2002, devançant les marques japonaises dont la part est tombée à 10,2 % (15 %) et le groupe Fiat, qui a régressé à 3,3 %.
Peugeot recueille les fruits de son offensive dans le produit et du succès de ses moteurs diésel à injection directe, et séduit particulièrement la clientèle féminine. Il vise 4,6 % du marché en 2005. Citroën table sur 40 000 immatriculations en 2003 et une part de 2,8 % avec le C3, la Pluriel et la C2 à deux portes.
Renault bénéficie d'une clientèle fidèle et vise une pénétration de 7 % grâce notamment à la nouvelle Mégane et au nouvel Espace. Les deux constructeurs se lancent dans les ventes aux exploitants de flottes de véhicules.
Quelque peu ironiques à l'égard des innovations françaises telles que le verrouillage à distance des portières ou la commande de radio au volant, les constructeurs allemands proposent aujourd'hui ces équipements en option et marquent du respect envers les constructeurs français. C'est notamment le cas de M. Carl-Peter Forster, président de Opel, qui a rendu hommage à leurs « concepts innovants ». Les Français ont des années d'avance sur leurs concurrents d'Outre-Rhin dont ils conquièrent massivement la clientèle, souligne AUTO MOTOR UND SPORT (2/10/02). Au lieu de se disperser dans des ambitions de luxe et dans une surenchère technique, ils cultivent leurs points forts et proposent des véhicules attrayants, au style séduisant et à des prix abordables.
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Après les moqueries et le dédain, les allemands se rendent compte de leur malheur, surtout Ford et Opel qui dégringolent en Allemagne