10-16-2007, 01:44 PM
<!--quoteo-->CITATION<!--quotec-->Mosley doit démissionner, explique Jackie Stewart
La guerre des mots est contagieuse ; ouverte entre Alonso/Hamilton et Alonso/McLaren, elle déborde du cadre sportif et contamine les coulisses de la F1 mais aussi ses hautes sphères et instances dirigeantes. Max Mosley avait fait preuve d’un surprenant manque de retenue et de diplomatie en traitant Sir Jackie Stewart de simple d’esprit et en brocardant sa garde-robe qui fait référence aux traditions Ecossaises – le tartan et le kilt.
Le président de la FIA ayant refusé de présenter ses excuses au triple champion du monde malgré l’occasion offerte par le président du BRDC, Damon Hill, l’attaque en règle n’avait pu être mise sur le compte d’une poussée de fièvre consécutive aux tourments de l’espionnage industriel et des effets néfastes sur l’image de la F1 contre lesquels Jackie Stewart avait mis en garde. L’ambassadeur historique de Ford avait prévenu des dégâts collatéraux que la mauvaise publicité pourraient occasionner auprès des sponsors potentiels du sport.
Stewart réitère ses propos et va cette fois-ci plus loin en expliquant que nombre sont ceux qui appellent de leur vœu la démission du président de la Fédération Internationale de l’Automobile. « Il y a une prise de conscience de plus en plus grande sur le fait que Mosley est remis en cause pour sa gouvernance de la FIA ; son autorité s’est effritée » explique Stewart au Scottish Herald, « C’est parce que nous sommes dans la saison la plus excitante depuis longtemps et pourtant les journaux regorgent pourtant de publicité négative. Ça donne l’impression que la F1 se tire une balle dans le pied, pas avec un pistolet mais avec un semi automatique ! Les instances dirigeantes nuisent à la réputation du sport. »
« Elles agissent dans leur propre intérêt et je pense qu’il faudrait un esprit comptable plus développé. Peut-être que Max Mosley occupe ce poste depuis trop longtemps. Je pense qu’il devrait sérieusement réfléchir à son rôle et qu’un nouveau président devait être recherché à l’extérieur du sport afin qu’il n’y ait pas de conflit d’intérêt. Cela n’a rien à voir avec moi et Max – pas plus que moi agissant pour le compte ou le bien de McLaren – je pense sincèrement que les décisions qui ont été prises l’ont été au détriment du sport et que nous devons accepter qu’il est temps de tourner la page. »<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->
La guerre des mots est contagieuse ; ouverte entre Alonso/Hamilton et Alonso/McLaren, elle déborde du cadre sportif et contamine les coulisses de la F1 mais aussi ses hautes sphères et instances dirigeantes. Max Mosley avait fait preuve d’un surprenant manque de retenue et de diplomatie en traitant Sir Jackie Stewart de simple d’esprit et en brocardant sa garde-robe qui fait référence aux traditions Ecossaises – le tartan et le kilt.
Le président de la FIA ayant refusé de présenter ses excuses au triple champion du monde malgré l’occasion offerte par le président du BRDC, Damon Hill, l’attaque en règle n’avait pu être mise sur le compte d’une poussée de fièvre consécutive aux tourments de l’espionnage industriel et des effets néfastes sur l’image de la F1 contre lesquels Jackie Stewart avait mis en garde. L’ambassadeur historique de Ford avait prévenu des dégâts collatéraux que la mauvaise publicité pourraient occasionner auprès des sponsors potentiels du sport.
Stewart réitère ses propos et va cette fois-ci plus loin en expliquant que nombre sont ceux qui appellent de leur vœu la démission du président de la Fédération Internationale de l’Automobile. « Il y a une prise de conscience de plus en plus grande sur le fait que Mosley est remis en cause pour sa gouvernance de la FIA ; son autorité s’est effritée » explique Stewart au Scottish Herald, « C’est parce que nous sommes dans la saison la plus excitante depuis longtemps et pourtant les journaux regorgent pourtant de publicité négative. Ça donne l’impression que la F1 se tire une balle dans le pied, pas avec un pistolet mais avec un semi automatique ! Les instances dirigeantes nuisent à la réputation du sport. »
« Elles agissent dans leur propre intérêt et je pense qu’il faudrait un esprit comptable plus développé. Peut-être que Max Mosley occupe ce poste depuis trop longtemps. Je pense qu’il devrait sérieusement réfléchir à son rôle et qu’un nouveau président devait être recherché à l’extérieur du sport afin qu’il n’y ait pas de conflit d’intérêt. Cela n’a rien à voir avec moi et Max – pas plus que moi agissant pour le compte ou le bien de McLaren – je pense sincèrement que les décisions qui ont été prises l’ont été au détriment du sport et que nous devons accepter qu’il est temps de tourner la page. »<!--QuoteEnd--><!--QuoteEEnd-->