F1 2009

[Sandman]

bye bye Toyota:

Et peut-être bye-bye Renault..



On nous expliquait que la « dette de la F1 » était de 1,6 milliard d’euros et bien difficile à rembourser avant la date limite de 2014 par CVC, le groupe financier propriétaire de la série. À force de pomper le fric au lieu de le distribuer aux acteurs du championnat (les écuries, les circuits, etc.), on arrive à un écroulement du système. Les circuits historiques ne peuvent plus suivre, et les grandes équipes sont en difficulté et quittent le championnat, rendant de ce fait le championnat de plus en plus fragile, un truc sans fin, pouvant mener à la faillite de l'organisation.



Comme disait Briatore en juillet 2008 : « Ecclestone empoche 50 % de l'ensemble des revenus, et nous, nous sommes supposés être capables de réduire nos coûts de 50 % ».