02-01-2018, 11:53 AM
Tout le problème vient de cette escrologie au CO2 mise en place par les américains dans le but de créer un nouveau marché.
Les moteurs essence sont effectivement devenus plus polluant, pas tant à cause du downsizing que de l'utilisation de moteurs fonctionnant en mode de charge stratifié (1) grâce à l'injection directe créant de forte quantités de particules qui n'existaient quasiment pas dans le cas des combustion complètes (ou stoechiométriques) (2).
On rejette effectivement beaucoup moins de CO2 mais considérablement plus de carbone sous forme de particules.
Je suis mal placé pour donner des leçons avec mon BMW 35i (injection directe + turbo = particule !) et le 3.6FSI de l'Audi. [img]http://www.forum-autoroule.com/public/style_emoticons/<#EMO_DIR#>/icon_confused.gif' class='bbc_emoticon' alt=':-?' />
Une Clio essence de 2004 relargue plus de CO2 mais moins de particule qu'une Ford Fiesta ecoboost.
Or respirer du CO2 ne tue pas, mais des micro-particules, oui.
De toute façon la norme Euro 6c impose le filtre à particule essence (GPF) pour les nouveaux modèles.
(emplâtre, jambe de bois, etc...)
(1) : on injecte le carburant lors de la compression (alors qu'en mode homogène, c'est lors de l'admission), ce qui a pour effet (comme cité précédemment) de créer un mélange riche autour des électrodes de la bougie mais qui est isolé du reste de la paroi de la chambre de combustion par un mélange trop pauvre pour être enflammé et par des résidus de la combustion précédente.
(2) : Rapport idéal pour qu'une réaction soit complète.
Lors de la combustion complète d'un hydrocarbure réagissant avec le dioxygène, les produits de combustion sont le dioxyde de carbone et l'eau. Une combustion complète permet d'obtenir la quantité maximale d'énergie disponible par une substance et cette énergie est définie comme étant le pouvoir calorifique.
Les moteurs essence sont effectivement devenus plus polluant, pas tant à cause du downsizing que de l'utilisation de moteurs fonctionnant en mode de charge stratifié (1) grâce à l'injection directe créant de forte quantités de particules qui n'existaient quasiment pas dans le cas des combustion complètes (ou stoechiométriques) (2).
On rejette effectivement beaucoup moins de CO2 mais considérablement plus de carbone sous forme de particules.
Je suis mal placé pour donner des leçons avec mon BMW 35i (injection directe + turbo = particule !) et le 3.6FSI de l'Audi. [img]http://www.forum-autoroule.com/public/style_emoticons/<#EMO_DIR#>/icon_confused.gif' class='bbc_emoticon' alt=':-?' />
Une Clio essence de 2004 relargue plus de CO2 mais moins de particule qu'une Ford Fiesta ecoboost.
Or respirer du CO2 ne tue pas, mais des micro-particules, oui.
De toute façon la norme Euro 6c impose le filtre à particule essence (GPF) pour les nouveaux modèles.
(emplâtre, jambe de bois, etc...)
(1) : on injecte le carburant lors de la compression (alors qu'en mode homogène, c'est lors de l'admission), ce qui a pour effet (comme cité précédemment) de créer un mélange riche autour des électrodes de la bougie mais qui est isolé du reste de la paroi de la chambre de combustion par un mélange trop pauvre pour être enflammé et par des résidus de la combustion précédente.
(2) : Rapport idéal pour qu'une réaction soit complète.
Lors de la combustion complète d'un hydrocarbure réagissant avec le dioxygène, les produits de combustion sont le dioxyde de carbone et l'eau. Une combustion complète permet d'obtenir la quantité maximale d'énergie disponible par une substance et cette énergie est définie comme étant le pouvoir calorifique.
