04-02-2003, 05:40 PM
Allez, un autre de mes délires...
Une équipe de chercheurs a enfin étudié en situation des groupes de PORSCHIUS en liberté et nous a transmis les résultats de cette étude :
Le PORSCHIUS VULGARIS.
Vit de préférence dans les zones urbaines et peri-urbaines, dans un habitat confortable mais sans ostentation. Il a tendance à réserver une partie de son terrier à une activité exclusivement male, où il n’accepte que très rarement sa femelle. On cherche à déterminer la nature de cette activité mais on manque d’information fiable. Celle-ci (la femelle) n’en est pas moins compréhensive et laisse le male des heures durant dans cette partie reculée du terrier d’où il ressort souvent énervé (et les pattes noirâtres…)
Il s’absente quotidiennement de son logis afin de ramener la nourriture nécessaire à sa famille. C’est seulement tous les 8 jours, parfois moins souvent, qu’il abandonne son périple à but alimentaire pour s’adonner aux joies de la promenade avec d’autres males de sa tribu d’où il revient parfois à pied, fourbu (et avec les pattes noirâtres…).
Le PORSCHIUS SEIZIEMUS
Certainement une sorte de PORSCHIUS VULGARIS quelque peu évolué (ou dégénéré, il y a plusieurs écoles). Il vit dans un environnement beaucoup plus sélectionné (et n’a jamais les pattes noirâtres…).
Contrairement au PORSCHIUS VULGARIS, il n’a pas besoin de s’absenter quotidiennement dans un but alimentaire. Ses énormes réserves, accumulées souvent par les générations précédentes (mystère de la génétique…) lui permettent de s’adonner à diverses activités sans se soucier de l’avenir.
Il est d’ailleurs souvent parasité par des individus du genre PORSCHIUS PROFITUS dont nous parlerons plus loin. A l’occasion de ces parasitoses, ses réserves peuvent fondre à vue d’œil mais elles se reconstituent rapidement.
Lors de ses sorties dans la campagne, il paraît souvent avec un pelage de couleur vive, très brillant, et qui se renouvelle souvent contrairement au PORSCHIUS VULGARIS qui garde la même livrée plusieurs années.
Le PORSCHIUS SEIZIEMUS a parfois l’instinct grégaire. Il profite des beaux jours pour rencontrer d’autres individus de son groupe et choisit avec attention les lieux de rencontre. Son but est peut-être de ne jamais rencontrer des PORSCHIUS VULGARIS car il a tendance à migrer vers des endroits où le PORSCHIUS VULGARIS ne se rend que très rarement…
Le PORSCHIUS PROFITUS
Son nombre croît avec la population de PORSCHIUS SEIZIEMUS. Il a toujours les pattes noirâtres (du moins beaucoup d’entre eux). Il vit dans de grands terriers ouverts où ceux-ci viennent souvent et ressortent amaigris ou avec une livrée d’une autre couleur.
Le PORSCHIUS VULGARIS a tendance à éviter les tanières de PORSCHIUS PROFITUS, peut-être par superstition, mais est souvent obligé de s’y rendre, certainement à contrecœur si l’on en croit son teint terreux et sa mine déconfite lorsqu’il en ressort. On ne s’explique pas encore cette sorte de masochisme, mais des études sont actuellement faites en milieu captif.
Le PORSCHIUS ENVIUS
Son nombre est constant. C’est une population assez jeune en général, se déplaçant dans une livrée voyante et bruyante. Certains individus, après beaucoup d’efforts, parviennent à muter en VULGARIS, groupe dont ils sont la source principale, et même parfois en SEIZIEMUS!
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de la suite de nos études à paraître dans National Géotrafic ainsi que dans la revue Rature.
Une équipe de chercheurs a enfin étudié en situation des groupes de PORSCHIUS en liberté et nous a transmis les résultats de cette étude :
Le PORSCHIUS VULGARIS.
Vit de préférence dans les zones urbaines et peri-urbaines, dans un habitat confortable mais sans ostentation. Il a tendance à réserver une partie de son terrier à une activité exclusivement male, où il n’accepte que très rarement sa femelle. On cherche à déterminer la nature de cette activité mais on manque d’information fiable. Celle-ci (la femelle) n’en est pas moins compréhensive et laisse le male des heures durant dans cette partie reculée du terrier d’où il ressort souvent énervé (et les pattes noirâtres…)
Il s’absente quotidiennement de son logis afin de ramener la nourriture nécessaire à sa famille. C’est seulement tous les 8 jours, parfois moins souvent, qu’il abandonne son périple à but alimentaire pour s’adonner aux joies de la promenade avec d’autres males de sa tribu d’où il revient parfois à pied, fourbu (et avec les pattes noirâtres…).
Le PORSCHIUS SEIZIEMUS
Certainement une sorte de PORSCHIUS VULGARIS quelque peu évolué (ou dégénéré, il y a plusieurs écoles). Il vit dans un environnement beaucoup plus sélectionné (et n’a jamais les pattes noirâtres…).
Contrairement au PORSCHIUS VULGARIS, il n’a pas besoin de s’absenter quotidiennement dans un but alimentaire. Ses énormes réserves, accumulées souvent par les générations précédentes (mystère de la génétique…) lui permettent de s’adonner à diverses activités sans se soucier de l’avenir.
Il est d’ailleurs souvent parasité par des individus du genre PORSCHIUS PROFITUS dont nous parlerons plus loin. A l’occasion de ces parasitoses, ses réserves peuvent fondre à vue d’œil mais elles se reconstituent rapidement.
Lors de ses sorties dans la campagne, il paraît souvent avec un pelage de couleur vive, très brillant, et qui se renouvelle souvent contrairement au PORSCHIUS VULGARIS qui garde la même livrée plusieurs années.
Le PORSCHIUS SEIZIEMUS a parfois l’instinct grégaire. Il profite des beaux jours pour rencontrer d’autres individus de son groupe et choisit avec attention les lieux de rencontre. Son but est peut-être de ne jamais rencontrer des PORSCHIUS VULGARIS car il a tendance à migrer vers des endroits où le PORSCHIUS VULGARIS ne se rend que très rarement…
Le PORSCHIUS PROFITUS
Son nombre croît avec la population de PORSCHIUS SEIZIEMUS. Il a toujours les pattes noirâtres (du moins beaucoup d’entre eux). Il vit dans de grands terriers ouverts où ceux-ci viennent souvent et ressortent amaigris ou avec une livrée d’une autre couleur.
Le PORSCHIUS VULGARIS a tendance à éviter les tanières de PORSCHIUS PROFITUS, peut-être par superstition, mais est souvent obligé de s’y rendre, certainement à contrecœur si l’on en croit son teint terreux et sa mine déconfite lorsqu’il en ressort. On ne s’explique pas encore cette sorte de masochisme, mais des études sont actuellement faites en milieu captif.
Le PORSCHIUS ENVIUS
Son nombre est constant. C’est une population assez jeune en général, se déplaçant dans une livrée voyante et bruyante. Certains individus, après beaucoup d’efforts, parviennent à muter en VULGARIS, groupe dont ils sont la source principale, et même parfois en SEIZIEMUS!
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de la suite de nos études à paraître dans National Géotrafic ainsi que dans la revue Rature.
