10-23-2004, 05:48 PM
Je me demande si la F.1 n'est pas aux abois. Elle est rentrée dans l'ère moderne avec l'arrivée des constructeurs qui ont pris financièrement le contrôle des artisans pionniers de la discipline. Seulement la conjoncture change, la recherche du prestige et la virtine technologique ne pèsent plus lourd pour une clientéle qui a changé dans sa masse et qui veut d'abord du rapport qualité/prix/utilité (voire utilitaire). La rentabilité est la nouvelle philosophie ce qui ne rime pas du tout avec un investissement pour une danseuse de luxe.
Mais la F.1 a pris l'habitude de se gaver. Et elle a perdu ses bases, oublié ses racines, et perdu ses repères. Le cas FERRARI est différent. Ils ont toujours été là. Ford se barre, BMW a un coup de blues et RENAULT n'a plus de plan au delà de 2005.
La F.1 voit de WSTC poindre, moins onéreux et plus en rapport direct avec le produit, le Rallye gère son format pour survivre, le DTM est étincelant de santé. Normal, c'est un championnat voulu par les constructeurs.
Discipline monotype NOUNOURS ? La raison économique impose cette évolution. Bien ou mal, je ne sais pas. Mais dans les domaines cités, les courses sont trés disputées... C'est peut être déjà un point de réflexion positif ...
Mais la F.1 a pris l'habitude de se gaver. Et elle a perdu ses bases, oublié ses racines, et perdu ses repères. Le cas FERRARI est différent. Ils ont toujours été là. Ford se barre, BMW a un coup de blues et RENAULT n'a plus de plan au delà de 2005.
La F.1 voit de WSTC poindre, moins onéreux et plus en rapport direct avec le produit, le Rallye gère son format pour survivre, le DTM est étincelant de santé. Normal, c'est un championnat voulu par les constructeurs.
Discipline monotype NOUNOURS ? La raison économique impose cette évolution. Bien ou mal, je ne sais pas. Mais dans les domaines cités, les courses sont trés disputées... C'est peut être déjà un point de réflexion positif ...
<i>" En politique, une absurdité n'est pas un obstacle " </i> Napoléon Bonaparte.