03-30-2002, 10:29 AM
Les allées et venues d'un commissaire technique FIA entre FERRARI et WILLIAMS, puis la présence otentatoire de Ross BRAWN devant le stand WILLIAMS à l'issue de la 1°séance libre, n'étaient finalement pas que motivées par la découverte de boulons sur la pit-lane occasionnant des crevaisons.
Non... Figurez vous que le réglement dit que chaque pilote a droit à chaque WE de GP à 4 trains de pneus. Or les jantes de la F2002 sont différents de celles de la F2001. Schumi court avec la première et se sert de la seconde comme mulet... Et HEAD a remarqué que Schumi bénéficiait de 8 trains... Soit 4+4, soit 4 trains par monoplace, alors que le réglement précise bien une allocation PAR PILOTE...
D'âpres discussions ont donc eu lieu et un voile de suspicion s'est de nouveau abattu sur l'impartialité de la FIA... Avant que Jean TODT ne promette qu'en cas d'utilisation de la F2001, il serait défalqué l'utilisation des gommes de la F2002, pour ramener le ratio à 2+2...
Vous avez pigé? Entre FERRARI et WILLIAMS-BMW, l'idylle se poursuit... Et à tous les étages, autant sur la piste que dans les stands!
Ceci dit, HEAD n'avait pas tout à fait tort...
Non... Figurez vous que le réglement dit que chaque pilote a droit à chaque WE de GP à 4 trains de pneus. Or les jantes de la F2002 sont différents de celles de la F2001. Schumi court avec la première et se sert de la seconde comme mulet... Et HEAD a remarqué que Schumi bénéficiait de 8 trains... Soit 4+4, soit 4 trains par monoplace, alors que le réglement précise bien une allocation PAR PILOTE...
D'âpres discussions ont donc eu lieu et un voile de suspicion s'est de nouveau abattu sur l'impartialité de la FIA... Avant que Jean TODT ne promette qu'en cas d'utilisation de la F2001, il serait défalqué l'utilisation des gommes de la F2002, pour ramener le ratio à 2+2...
Vous avez pigé? Entre FERRARI et WILLIAMS-BMW, l'idylle se poursuit... Et à tous les étages, autant sur la piste que dans les stands!
Ceci dit, HEAD n'avait pas tout à fait tort...
<i>" En politique, une absurdité n'est pas un obstacle " </i> Napoléon Bonaparte.