Pour Stellantis c'était à la fois prévisible et annoncé.
Carlos Tavares, que l'on devrait maintenant appeler la "galère Portugaise", a littéralement coulé le groupe par intérêt personnel en acceptant un deal incroyablement rémunérateur avec John Elkann, qui n'a fait que répéter ce qu'il avait déjà fait avec le groupe Fiat.
Désormais ce n'est plus le groupe Fiat qui est au bord de la faillite, mais Stellantis.
Pendant ce temps, ils profitent tranquillement des 10aines de millions d'€ ponctionnés dans les caisses du "nouveau" groupe.
Pour les autres constructeurs Européens, je suis en phase avec Onken : du réglementaire insensé édicté par des Eurocrates au mieux incapables, au pire corrompus.
Une inadaptation totale des nouveaux produits à la demande clients (mais pas à la demande des sous-traitants de 1er rang dont le but reste de vendre le plus d'équipements (inutiles) possibles) et une volonté à peine cachée de conserver les clients captifs des réseaux constructeurs pour les entretiens et réparations.
Une politique tarifaire totalement déconnectée de la réalité découlant des 2 postulats précédents et de la volonté de dégager des dividendes élevés pour les actionnaires.
Une époque est finie et tous les acteurs ne semblent pas encore l'avoir compris.
Carlos Tavares, que l'on devrait maintenant appeler la "galère Portugaise", a littéralement coulé le groupe par intérêt personnel en acceptant un deal incroyablement rémunérateur avec John Elkann, qui n'a fait que répéter ce qu'il avait déjà fait avec le groupe Fiat.
Désormais ce n'est plus le groupe Fiat qui est au bord de la faillite, mais Stellantis.
Pendant ce temps, ils profitent tranquillement des 10aines de millions d'€ ponctionnés dans les caisses du "nouveau" groupe.
Pour les autres constructeurs Européens, je suis en phase avec Onken : du réglementaire insensé édicté par des Eurocrates au mieux incapables, au pire corrompus.
Une inadaptation totale des nouveaux produits à la demande clients (mais pas à la demande des sous-traitants de 1er rang dont le but reste de vendre le plus d'équipements (inutiles) possibles) et une volonté à peine cachée de conserver les clients captifs des réseaux constructeurs pour les entretiens et réparations.
Une politique tarifaire totalement déconnectée de la réalité découlant des 2 postulats précédents et de la volonté de dégager des dividendes élevés pour les actionnaires.
Une époque est finie et tous les acteurs ne semblent pas encore l'avoir compris.